Les immenses forêts qui s’étendent au-dessus de la frontière ont souvent abrité les allées et venues feutrées des fraudeurs.
On « passait » principalement du tabac, de l’alcool, du parfum, des tissus, du jambon, etc...
Le long de ce ruisseau bois-Jean, dissimulées sous les frondaisons, s’échelonnaient quelques baraques où se rencontraient les trafiquants.
(Yvon Lambert, Bohan)